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Par ledzeplein le 11 Octobre 2008 à 12:08
The Camera Eye est une chanson épique de l'album de 1981, Moving Pictures. La chanson, qui dure à peu près 11 mn, est l'une des plus longues de Rush, après The Fountain of Lamneth, The Necromancer, 2112, Cygnus X-1, et Xanadu. Elle a été la dernière à dépasser les 10 mn si l'on ne compte pas Fear qui a été réalisé en continu jusqu'à l'album Vapor Trails, et qui dure plus de 20 minutes en cumul. Elle commence par 3 mn d'instrumental. On peut entendre au bout de 2:16, la séquence d'ouverture d'YYZ (le code en morse pour les lettres "YYZ" sur crotales, instruments de percussion). On peut y entendre beaucoup de synthétiseurs comme dans la plupart des musiques de Rush de cette époque. A 8:53, on entend deux londonniens - l'un disant d'une voix raffinée "Hello" suivi par un "Mornin' guv'" populaire de la classe ouvrière.
The Camera Eye est la chanson la plus réclamée par les fans lors des performances Live partout dans le monde : bien sûr jouée lors des tournées anciennes comme Moving Pictures tour, the Exit... Stage Left tour, the Signals Warm-Up tour, et the Signals tour, les tournées suivantes n'ont jamais répondu à cette requête. Elle a été interprété pour la dernière fois le 25 mai 1983 à Edimbourg au Royal Highland Exhibition Centre à la fin du Signals Tour.
Version originale
I
Grim-faced and forbidding,
Their faces closed tight,
An angular mass of New Yorkers
Pacing in rhythm,
Race the oncoming night,
They chase through the streets of Manhattan.
Head-first humanity,
Pause at a light,
Then flow through the streets of the city.
They seem oblivious
To a soft spring rain,
Like an English rain
So light, yet endless
From a leaden sky.
The buildings are lost
In their limitless rise.
My feet catch the pulse
And the purposeful stride.
I feel the sense of possibilities,
I feel the wrench of hard realities.
The focus is sharp in the city.
II
Wide-angle watcher
On life's ancient tales,
Steeped in the history of London.
Green and grey washes
In a wispy white veil
Mist in the streets of Westminster.
Wistful and weathered,
The pride still prevails,
Alive in the streets of the city.
Are they oblivious
To this quality?
A quality
Of light unique to
Every city's streets.
Pavements may teem
With intense energy,
But the city is calm
In this violent sea.Traduction par Ledzeplein
I
Sinistres et sévères,
Leurs visages sont fermés hermétiquement,
Une masse osseuse de New Yorkers
Marchant en rythme,
Faisant la course avec la nuit tombante,
Ils filent à travers les rues de Manhattan.
Tête de l'humanité,
S'arrêtent au feu,
Puis se jettent dans les rues de la ville.
Ils paraissent ne pas se soucier
D'une douce pluie de printemps,
Comme une pluie Anglaise
Si fine, encore sans fin
D'un ciel de plomb.
Les buildings sont perdus
Dans leur ascension sans limite.
Mes pieds prennent la cadence
Et la foulée pleine de détermination.
Je ressent le sentiment des possibilités,
Je ressent le déchirement de dures réalités.
La concentration est aiguisée en ville.
II
Observateur grand-angle,
Des contes anciens de la vie,
Imprégné de l'histoire de Londres.
Lavages verts et gris
Dans un mince voile blanc
Brume dans les rues de Westminster.
Nostalgique et effrité par les intempéries,
La fierté pévaut toujours,
Survivant dans les rues de la ville.
Sont-ils conscients
De cette qualité?
Une qualité
De lumière unique à
Chaque rue de la ville.
Les trottoirs peuvent fourmiller
Avec une énergie intense,
Mais la ville est calme
Dans cette mer démontée.Le groupe
Version live le 03-01-81 International Amphitheater, Chicago, IL
mixé sur le "Exit Stage Left" DVD.Le coin des fans
Montage Vidéo réalisée par bigwallypants (vues de New-York et Londres)
Grand prix F1 de Monaco 2007 sur la musique de Rush par wAsh38
Section Guitare
Par Docca3
Par Anubis XII (avec synthé et basse)
Par Snowdoguk
Section Batterie
Par Pauliewanna
Par Astrotama
Section Basse
Par Basspops
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