• Par T. Richard (amazon.fr)

    • Rush est à l'apogée de sa carrière, le début des 80 leur apportera succès et reconnaissance en amérique du nord.
      Pourtant cet album ne s'inscrit pas dans la continuité, il aborde une nouvelle façon plus concise de composer. Finies les longues chansons labyrinthiques genre 2112, le rock typé 70 est lui aussi mis de côté. place à la modernité, l'apparition (discrète pour l'instant des synthés), des titres plus courts, des refrains entrainants et facilement mémorisable, la voix de Lee un peu moins criarde, et toujours de la musique qui fourmille d'idées. L'album se finit en apothéose avec (natural science) une pièce de 8mn épique avec des trouvailles rythmiques géniales. Ils sont au top niveau. C'est l'album idéal pour rentrer dans le monde pas toujours facile de rush.

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  • "La villa strangiato" ou village étrange est le 1er morceau de Rush entièrement instrumental ; il dure un peu moins de 10 mn. Il est sous-titré : "Un exercice d'auto-satisfaction". La chanson multi-parties a été inspiré par un rêve d'Alex Lifeson, et la musique correspond aux évènements se produisant au cours du rêve.

    Instrumental
    1. Buenas Noches, Mein Froinds!
    2. To sleep, perchance to dream...
    3. Strangiato Theme
    4. A Lerxst in Wonderland
    5. Monsters!
    6. Danforth and Pape
    7. The Waltz of the Shreves
    8. Never turn your back on a Monster!
    9. Monsters! (Reprise)
    10. Strangiato Theme (Reprise)
    11. A Farewell to Things

     

     

    La même avec photos

     

    Live 1978

     

    Live 1979 au festival Pinkpop

     

    A show of hands - 1988

     

    R30 en 2004

     

    LE COINS DES FANS

    Section Basse

    Par Availablelight

     

    Par AnubisXII (basse / guitare)

     

    Section Batterie

    Par Martin Periard

     

    Par Pauliewanna

     

    Par thealien666

     

    Par Ray Harber

     

    Section groupe

    Acoustic & Electric Guitars: Andrew Logue
    Bass: Don Dianetti
    Drums & Percussion: Mike Lucas
    Synth: Sean Jones
    Cinematography: Richard Soto
     
     

     

    Par Rush Tribute Trilogy

    Non, vous ne rêvez pas : c'est bien la batterie que Neil Peart avait lors de Permanent Waves et Moving Pictures ainsi que sur la tournée Exit Stage Left. Le batteur l'a gagné tout jeune lors d'un concours dans les années 80 (pour plus d'info voir http://www.flatninemusic.net/thekit.html)


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  • L'inspiration de l'écriture de cette chanson vint à Neil Peart en tombant par hasard sur une bande dessinée qui dépeignait les arbres discutant comme des humains. 

    Sur l'album Live Exit...Stage Left, le court instrumental Broon's Bane est joué en intro du morceau.

     

    There is unrest in the forest,
    There is trouble with the trees,
    For the maples want more sunlight
    And the oaks ignore their pleas.

    The trouble with the maples,
    (And they're quite convinced the're right)
    They say the oaks are just too lofty
    And they grab up all the light.
    But the oaks can't help their feelings
    If they like the way they're made.
    And they wonder why the maples
    Can't be happy in their shade.

    There is trouble in the forest,
    And the creatures all have fled,
    As the maples scream `Oppression`
    And the oaks, just shake their heads

    So the maples formed a union
    And demanded equal rights.
    "The oaks are just too greedy;
    We will make them give us light."
    Now there's no more oak oppression,
    For they passed a noble law,
    And the trees are all kept equal
    By hatchet, axe, and saw.

     

     

     

    Live sur Exit Stage Left

     

    LE COIN DES FANS

    Section guitare

    Par Seveertrebor

     

    Section Batterie

    Par Pauliewanna

     

    Par Astrotama

     

    Par Martin Periard

     

    Section basse

    Par Basspops


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  • C'est le 2ème titre de l'album Hémisphères.

    Il s'agit d'une chanson autobiographique, écrite par Peart, sur le séjour qu'il effectua en Angleterre, et ses désillusions vis-à-vis de ces occupations courantes. Musicalement, c'est une chanson hard rock, avec riffs de guitare énergiques, similaires aux morceaux des albums du début des années 70. Il y a un break aux claviers à peu près au milieu de la chanson, similaire à celui de "The Trees," joué par Geddy Lee sur synthétiseur Oberheim 8-voix Polyphonique, et pédales Taurus, les cloches orchestrales de Neil Peart et une douce et simple progression d'Alex Lifeson, avant le retour au hard rock. Le titre a été joué une poignée de fois seulement en concert, sur la tournée Hémisphères de la fin de 1978 au début de 1979, avant d'être repris sur la tournée Snakes & Arrows en 2007 où il a été joué chaque soir du premier set du concert de 3 heures exécuté par le groupe.

     

    Version originale

    A boy alone, so far from home,
    Endless rooftops from my window.
    I felt the gloom of empty rooms
    On rainy afternoons.
    Sometimes, in confusion,
    I felt so lost and disillusioned,
    Innocence gave me confidence
    To go up against reality.

    All the same, we take our chances,
    Laughed at by Time,
    Tricked by Circumstances.
    Plus ca change,
    Plus c'est la meme chose,
    The more that things change,
    The more they stay the same.

    Now I've gained some understanding
    Of the only world that we see.
    Things that I once dreamed of
    Have become reality.
    These walls that still surround me
    Still contain the same old me,
    Just one more who's searching for a world that ought to be. 
     

    Du nouveau double live de la tournée Snakes and Arrows 2007 à Rotterdam

     

    Vidéo 1978

     

    LE COIN DES FANS

    Section batterie

    Par Abacab

     

    Par Martin Periard

     

    Par Pauliewanna

     

    Section basse

    Par Entheogenesis

     

    Par Basspops

     

    Section guitare

    Par Seveertrebor


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  • Bien que les éléments de science-fiction ne prévalent sur cet album comme dans les précédentes réalisations, il contient beaucoup d'éléments Fantasy, notamment ceux relatant la mythologie grecque. Cygnus X-1 Book II: Hemispheres est la suite de la dernière chanson de l'album précédent,  A Farewell to Kings (Cygnus X-1, Book I: The Voyage), mais le thème de Cygnus est revisité à la fois sur le plan lyrique et musical. Cependant, les concepts lyriques utilisés pour continuer l'histoire sur cet album ont changé passant d'un sujet de science fiction à celui de la mythologie grecque, qui est représenté dans ce cas par la dichotomie Apollon / Dionysos. Cette mythologie est un véhicule pour explorer encore un autre concept, celui de la psychologie populaire : plus spécifiquement, la différence entre la pensée du "cerveau gauche" et celle  de "cerveau droit", d'où le titre "Hemispheres".

    Ce thème était la base du livre de Friedrich Nietzsche, la Naissance de la Tragédie de l'Esprit de la Musique, qui a dû être la source d'inspiration des textes de Neil Peart pour cette chanson :

    La Naissance de la tragédie, paru en 1872, est une oeuvre de jeunesse de Nietzsche. Elle est publiée alors que le philosophe n'a que 28 ans. L'ouvrage développe une thèse selon laquelle deux grandes forces opposées gouvernent l'art : le dionysiaque et l'apollinien. Ces deux forces, unies un temps dans la tragédie grecque, auraient été à nouveau séparées par le triomphe de la rationalité avec Euripide et Socrate. Nietzsche espérait alors retrouver l'union du dionysiaque et de l'apollinien chez Wagner à qui est dédiée la Naissance de la tragédie.

    La thèse principale du livre est que l'art repose sur deux notions fondamentales que la Grèce de l'époque archaïque et de l'époque classique, c'est-à-dire la Grèce pré-socratique, a su mêler avec le plus de génie. Ces deux notions sont symbolisées par deux dieux grecs : Dionysos et Apollon.

    Dionysos représente l'instinct primitif, l'ivresse dans laquelle s'expriment les forces naturelles, le lien charnel avec la terre, le sentiment de ne faire qu'un avec le monde et l'Un originel ; Apollon représente le rêve, l'interprétation, l'oracle, le dédoublement du monde, le don du sens, la canalisation et la mise en forme des forces naturelles. Fondant tout art sur ces deux formes primitives, Nietzsche explique que la tragédie, c'est-à-dire l'art dramatique, est apparue à partir des Dionysies, ces fêtes païennes en l'honneur du dieu où l'on célébrait la nature par la sacralisation du vin et de ses effets. Elles n'étaient à l'origine qu'une grande danse cabalistique que l'on peut retrouver chez les peuples qui usent encore du chamanisme. Puis, progressivement, les poètes transmettant l'œuvre d'Homère s'y sont introduits, et ainsi, des représentations de personnages apparurent, Dionysos le premier et le plus souvent, ensuite les personnages de L'Iliade et de L'Odyssée. Les autres formes d'art, d'après Nietzsche, n'ont pas cette ambivalence parfaite que possède l'art dramatique. La musique est davantage dionysiaque et n'est rien d'autre que l'expression la plus pleine du monde dans sa totalité, elle n'a aucun modèle. La sculpture, elle, est d'essence apollinienne puisqu'elle est mise en forme, travail et réflexion sur la matière.

     

    Cygnus X-1 Book II: Hemispheres

    L'histoire commence avec un texte narratif exposant la situation en cours, la compétition des dieux Apollon et Dionysos pour la "foi de l'homme". Apollon est en premier montré courtisant le peuple avec "vérité et compréhension", "intelligence et juste sagesse" comme "précieux cadeaux mis dans la balance". Le peuple se délecte de ces cadeaux et entame un "âge des lumières", cependant comme si il manquait quelque chose, ces présents sont devenus un exercice intellectuel séparé du sens humain. Dionysos entre en scène à ce moment promettant "l'amour"et suggérant au peuple de se libérer des "chaines de la raison". Les villes sont abandonnées et une sorte de Woodstock orgiaque commence, mais le peuple, ayant abandonné la raison, se trouve lui-même à la merci des éléments. Il commença à chercher la solution à ses maux dans une approche tout-ou-rien (la raison ou l'émotion). Le monde se divisa en "hémispheres désolés" (d'où la connection à la psychologie "pop" du mythe du cerveau droit et gauche). Des récits parlent d'un messie "porteur de la balance", qui se révèle être le protagoniste de la chanson "Cygnus X-1" de A Farewell to Kings ("Cygnus" étant la constellation où le héros entre dans le trou noir, point à partir duquel l'histoire était "à suivre", selon les notes internes de l'album). Le personnage, en tant qu'étranger, a une vision globale "oeil-des-dieux" de la bataille, et de cette position avantageuse, peut voir ce que le peuple ne peut voir, qu'il s'est divisé lui-même selon une dichotomie trompeuse, ce qui étonne les dieux eux-mêmes, reconnaissant la sagesse de cette vision. Le personnage devient connu sous le nom de "Cygnus, le dieu de l'Equilibre".

    Sources : Wikipedia

    I.Prelude
    When our weary world was young
    The struggle of the ancients first began.
    The gods of Love and Reason
    Sought alone to rule the fate of Man.

    They battled through the ages,
    But still neither force would yield.
    The people were divided,
    Every soul a battlefield.

    II. Apollo: Bringer of Wisdom
    "I bring truth and understanding,
    I bring wit and wisdom fair,
    Precious gifts beyond compare.
    We can build a world of wonder,
    I can make you all aware.
    I will find you food and shelter,
    Show you fire to keep you warm
    Through the endless winter storm.
    You can live in grace and comfort
    In the world that you transform."

    The people were delighted
    Coming forth to claim their prize
    They ran to build their cities
    And converse among the wise.
    But one day the streets fell silent,
    Yet they knew not what was wrong.
    The urge to build these fine things
    Seemed not to be so strong.
    The wise men were consulted,
    And the Bridge of Death was crossed
    In quest of Dionysus,
    To find out what they had lost.

    III. Dionysus: Bringer of Love
    "I bring love to give you solace
    In the darkness of the night,
    In the Heart's eternal light.
    You need only trust your feelings;
    Only love can steer you right.
    I bring laughter, I bring music,
    I bring joy and I bring tears.
    I will soothe your primal fears.
    Throw off those chains of reason
    And your prison disappears."

    The cities were abandoned,
    And the forests echoed song.
    They danced and lived as brothers;
    They knew love could not be wrong.
    Food and wine they had aplenty
    And they slept beneath the stars.
    The people were contented
    And the Gods watched from afar.
    But the winter fell upon them
    And it caught them unprepared,
    Bringing wolves and cold starvation,
    And the hearts of men despaired.

    IV. Armageddon: The Battle of Heart and Mind
    The Universe divided
    As the Heart and Mind collided,
    With the people left unguided
    For so many troubled years.
    In a cloud of doubts and fears,
    Their world was torn asunder into hollow Hemispheres.

    Some fought themselves, some fought each other.
    Most just followed one another,
    Lost and aimless like their brothers,
    For their hearts were so unclear,
    And the truth could not appear.
    Their spirits were divided into blinded Hemispheres.

    Some who did not fight
    Brought tales of old to light.
    My Rocinante' sailed by night
    On her final flight.
    To the heart of Cygnus' fearsome force
    We set our course.
    Spiralled through that timeless space
    To this immortal place.

    V. Cygnus: Bringer of Balance
    I have memory and awareness,
    But I have no shape or form.
    As a disembodied spirit,
    I am dead and yet unborn.
    I have passed into Olympus
    As was told in tales of old,
    To the city of Immortals,
    Marble white and purest gold.

    I see the gods in battle rage on high,
    Thunderbolts across the sky.
    I cannot move, I cannot hide,
    I feel a silent scream begin inside.

    Then all at once the chaos ceased.
    A stillness fell, a sudden peace.
    The warriors felt my silent cry
    And stayed their struggle, mystified.

    Apollo was atonished;
    Dionysus thought me mad.
    But they heard my story further,
    And they wondered, and were sad.

    Looking down from Olympus
    On a world of doubt and fear,
    Its surface splintered
    Into sorry Hemispheres.

    They sat a while in silence,
    Then they turned at last to me.
    "We will call you Cygnus,
    The god of Balance you shall be."

    VI. The Sphere: A Kind of Dream
    We can walk our road together
    If our goals are all the same.
    We can run alone and free
    If we pursue a different aim.
    Let the truth of love be lighted,
    Let the love of truth shine clear.
    Sensibility, armed with sense and liberty,
    With the Heart and Mind united in a single perfect Sphere.

     

     

    Live 94 du Counterparts Tour

     

    LE COIN DES FANS

    Section basse

    par GeddyleeYYZ, le prelude

     

    Section Guitare (basse / guitares)

    Par AnubisXII

     

    Section batterie

    Par thealien666, le prelude

     

    Par Martin Periard part 1

     

    Par Martin Periard part 2


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